Rorqual commun
Rorqual commun
Balaenoptera physalus
Traductions
Latin : Balaenoptera physalus
Basque : Zere arrunta
Espagnol : Ballena Aleta ou Ballena Boba
Anglais : Fin whale
Classification
Embranchement : Chordata
Classe : Mammalia
Ordre : Cetacea
Famille : Balaenopteridae
Morphologie
Poids : 40 à 50 tonnes
Taille : Environ 19 à 20 mètres en moyenne
Comparaison
Répartition
Mode de vie
Le rorqual commun préfère les eaux profondes au-delà du plateau continental.
Après la baleine bleue, c’est le deuxième plus grand animal vivant sur la planète. Il mesure environ 20 mètres. Cet animal est aussi le plus bruyant des mammifères marins. On le trouve dans tous les océans, ainsi qu’en mer Méditerranée.
Vocalisations : Les rorquals mâles vocalisent abondamment à basses fréquences. Ce sont après les baleines bleues, les vocalises les plus bruyantes. La plupart des vocalises le sont en modulation de fréquence entre 16 et 40 Hertz. Chaque émission dure environ 1 à 2 secondes et les diverses combinaisons de sons se produisent dans un ordre modulé durant 7 à 15 min. Ces chants sont répétés sur de longues périodes. Les vocalisations sont émises à une puissance acoustique pouvant atteindre 184-186 décibels pour 1 μPa de pression sonore à 1 mètre. Ils peuvent être détectés à plusieurs centaines de kilomètre de leur source.
Alimentation
Le rorqual commun possède des fanons qui lui permettent de filtrer les petits poissons, calmars et crustacés dont les Mysidacea et le krill. Ce rorqual s’alimente en ouvrant ses mâchoires tout en nageant à bonne vitesse (11 kilomètres par heure) et engloutit jusqu’à 70 mètres cubes d’eau. Il ferme alors ses mâchoires et rejette l’eau à travers les fanons. Chaque filtrage peut apporter près de 10 kilogrammes de nourriture, et chaque rorqual commun peut en absorber jusqu’à 1 800 kilogrammes par jour. Il peut ainsi passer 3h par jour à chasser afin de satisfaire ses besoins énergétiques. On a également observé des rorquals communs entourer des bancs de poisson de façon à les rendre plus compacts pour ensuite les engloutir.
Statut UICN
Voir sa fiche sur le site de l’UICN.
Traductions
Latin : Balaenoptera physalus
Basque : Zere arrunta
Espagnol : Ballena Aleta ou Ballena Boba
Anglais : Fin whale
Classification
Embranchement : Chordata
Classe : Mammalia
Ordre : Cetacea
Famille : Balaenopteridae
Morphologie
Poids : 40 à 50 tonnes
Taille : Environ 19 à 20 mètres en moyenne
Comparaison
Répartition
Comparaison
Répartition
Mode de vie
Le rorqual commun préfère les eaux profondes au-delà du plateau continental.
Après la baleine bleue, c’est le deuxième plus grand animal vivant sur la planète. Il mesure environ 20 mètres. Cet animal est aussi le plus bruyant des mammifères marins. On le trouve dans tous les océans, ainsi qu’en mer Méditerranée.
Vocalisations : Les rorquals mâles vocalisent abondamment à basses fréquences. Ce sont après les baleines bleues, les vocalises les plus bruyantes. La plupart des vocalises le sont en modulation de fréquence entre 16 et 40 Hertz. Chaque émission dure environ 1 à 2 secondes et les diverses combinaisons de sons se produisent dans un ordre modulé durant 7 à 15 min. Ces chants sont répétés sur de longues périodes. Les vocalisations sont émises à une puissance acoustique pouvant atteindre 184-186 décibels pour 1 μPa de pression sonore à 1 mètre. Ils peuvent être détectés à plusieurs centaines de kilomètre de leur source.
Alimentation
Le rorqual commun possède des fanons qui lui permettent de filtrer les petits poissons, calmars et crustacés dont les Mysidacea et le krill. Ce rorqual s’alimente en ouvrant ses mâchoires tout en nageant à bonne vitesse (11 kilomètres par heure) et engloutit jusqu’à 70 mètres cubes d’eau. Il ferme alors ses mâchoires et rejette l’eau à travers les fanons. Chaque filtrage peut apporter près de 10 kilogrammes de nourriture, et chaque rorqual commun peut en absorber jusqu’à 1 800 kilogrammes par jour. Il peut ainsi passer 3h par jour à chasser afin de satisfaire ses besoins énergétiques. On a également observé des rorquals communs entourer des bancs de poisson de façon à les rendre plus compacts pour ensuite les engloutir.
Statut UICN
Voir sa fiche sur le site de l’UICN.